Assis en rond formant un cercle ici à la plage de Lomé, Ces Djembéfola ou encore troubadour se retrouve à l’appel de ce jeune Papson. Une rencontre qui annonce les couleurs de la résidence de création de la percussion Djembé. Un projet porté par Papson. La résidence qui porte la griffe de l’unité revêt un sens particulier au regard de la mobilisation. Tambour entre les genoux, base légèrement basculée du sol pour laisser passer le son. On frappe sur la peau tendue. Du bout d’un ou de plusieurs doigts, du plat ou de la paume de la main. Et c’est là l’expression réelle de la percussion. Le maitre à bord, Papson Atike. La superposition du Djembé crée un rythme extraordinaire qui finit par s’installer. Ici cela est accompagné de la danse. Un maitre en appelle un autre. Mais celui dont il est question presse le mouvement et augmente l’intensité. La restitution n’est que le reflet du travail abattu lors de la résidence.
